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Départ de l'hôtel vers la capitale Tunis.
Arrivée au Bardo (banlieue nord ouest de Tunis):
Le Bardo est le plus grand musée de Tunisie il tient sa réputation des innombrables pièces provenant de fouilles effectuées dans le pays depuis le XIXe s. La qualité et la rareté de certaines d’entre elles témoignent de la richesse historique du pays, et de sa singularité. Logé dans un ancien palais beylical du XIXème siècle, il retrace à travers ses collections une grande partie de l’histoire de la Tunisie (de la préhistoire à l’époque contemporaine), et renferme la plus grande collection de mosaïques au monde, dont la célèbre mosaïque figurant le poète Virgile. Le visiteur peut y découvrir une abondante collection de bijoux puniques ainsi qu’une galerie de sarcophages romains et de baptistaires chrétiens.
Continuation vers la médina – centre de Tunis –
Du 12ième au 16ième siècle, Tunis a été considérée comme l'une des villes les plus importantes et les plus riches du monde islamique. Quelque 700 monuments dont des palais, des mosquées, des mausolées, des medersas et des fontaines témoignent de ce remarquable passé. Le bien inscrit couvre une superficie d'environ 280 ha et présente toutes les composantes d'une ville arabo- musulmane. Il est constitué de la médina centrale (8ième siècle) et des faubourgs Nord et Sud (13ième siècle). On y dénombre 700 monuments historiques, répartis sur sept zones, parmi lesquels les plus remarquables sont la mosquée de la Zitouna, la mosquée de la Casbah, la mosquée de Youssef Dey, la porte de Bab Jedid, la porte de Bab Bhar, le Souk el- Attarine, le Dar el-Bey, le Souk ech-Chaouachia, la Tourbet (cimetière familial) el Bey, les demeures patriciennes telles que Dar Hussein, Dar Ben Abdallah, Dar Lasram, les Madrasa Es- Slimanya et El-Mouradia, la caserne d’El Attarine et la Zaouia de Sidi Mehrez.
Traversée de la médina du nord au sud en passant par les bijoutiers, la mosquée « Zitouna », et la ruelle principale jusqu'à la porte de France qui débouche sur l’avenue Bourguiba. Passage devant la cathédrale saint Vincent de Paul.
Continuation vers la banlieue nord de Tunis. Déjeuner.
Carthage : Selon la légende, ce serait la reine Alyssa Didon, sœur du roi de Tyr Pygmalion, qui fonda la cité, avec l’aide de quelques colons et de guerriers, vers le milieu du 8ème siècle (En 814 av. J-C). Elle devint une rivale de Rome pour la domination de la Méditerranée occidentale au IVe siècle avant J-C. Cette rivalité se transforma en conflit armé ayant pour origine, la lutte d'influence en Sicile, qui était contrôlée par les deux puissances. Cette confrontation se déroula en trois phases appelées communément guerres puniques. Ces trois guerres débutèrent au IIIe siècle avant J-C. pour se terminer en 146 avant J-C avec la victoire de Rome et la destruction de Carthage.
Lieu exceptionnel de brassage, de diffusion et d'éclosion de plusieurs cultures qui se sont succédé (phénico-punique, romaine, paléochrétienne et arabe), cette métropole et ses ports ont favorisé des échanges à grande échelle dans la Méditerranée.
Carthage a toujours nourri l'imaginaire universel. Le bien comprend des vestiges de la présence punique, romaine, vandale, paléochrétienne et arabe. Les principales composantes connues du site de Carthage sont l'acropole de Byrsa, les ports puniques, le tophet punique, les nécropoles, le théâtre, l'amphithéâtre, le cirque, le quartier des villas, les basiliques, les thermes d'Antonin, les citernes de La Malaga et la réserve archéologique.
Tour en bus à travers le site suivi d’une visite guidée des thermes d’antonin 2ième S. AP. JC. Un complexe couvrant 2.5 hectares situé au bord de la mer dont la partie souterraine est encore conservé. Une colonne restitue permet de se rendre compte de l’importance de l’édifice.
Départ vers Sidi Bou Saïd.
Sidi Bou Saïd était autrefois le lieu de vacances favori des familles privilégiées de Tunis. Au bord de la mer, elles y reconstituaient leur mode de vie raffiné sous la protection du tombeau de Sidi Abou Saïd, saint homme du 13e siècle. Derrière les murs simplement blanchis à la chaux se cachent parfois de véritables palais. L’un d’eux a été édifié par un Européen tombé amoureux du village en 1912, le baron Rodolphe d’Erlanger ; transformé en musée, il accueille aujourd’hui des concerts. D’autres maisons sont devenues des galeries d’art ou des maisons d’hôtes.
Orientation et temps libre dans le village mauresque. Retour aux hôtels.